Des mots pour le dire

Des mots pour le dire se veut un blogue qui laissera place aux mots qui porteront leurs messages au gré des vents et des humeurs.Que ce soit politique, poétique ou autre il y a toujours des mots pour le dire.Aucune reproduction totale ou en partie n'est autorisée sans concentement.

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dimanche, août 21, 2005

Uranium bon marché...?


On apprenait dans les journaux cette semaine que le gouvernement italien aurait fait appel à la mafia pour disposer de déchets radioactifs. On les aurait embarqué sur des navires pour ensuite les couler au fond de la mer Méditerrané. Puis dans un autre article on se demandait en titrant "Vers une alliance entre les Hell's et Al-Qaeda?" Une autre question devrait être posée:"Ont-ils tous été coulés et détruits ou on en a détourné en les vendant à des mains mal-veillantes? Si un pays soi disant civilisé est capable de faire un tel acte, alors comment ne pas douter d’un esprit mal-saint?

C’est toujours encourageant pour un avenir propre de lire des articles de ce genres. Le plutonium est-il en voie de devenir une contrebande payante? Les mohawks laisseront-ils tomber les cigarettes? Sera-t’il aussi facile pour certain réseaux criminels de se procurer du plutonium qu’il l’est pour la cocaïne? Où sont passés les déchets de l’ancienne URSS? Dans moins de vingt ans, il sera probablement aussi facile pour des mouvements criminels organisés de fabriquer des bombes atomiques que de faire une bombe à tuyau. Les ports maritimes canadiens sont sous contrôle des bandes criminalisées, que fait le gouvernement pour remédier au problème? Il est très facile pour ces groupes de transiger ce qu’ils veulent. Y-a t’il eu un jour un bateau arrivant de la Méditéranné qui aurait accosté dans un port canadien?

Les frontières n’existent plus, pendant que les pays se chicanent pour une vache malade ou bien pour savoir si il serait bon pour eux de se séparer, les organisations criminels s’unissent. Il ne faut pas se leurrer, le crime organiser contrôle bien des sphères dans le monde. Mais pour la survie de l’humanité il faudra que les pays s’unissent pour contrer cette prolifération. Nous sommes à la veille de voir péter une bombe non conventionnelle dans un stationnement de centre d’achat. Le parie aujourd’hui n’est pas de savoir quand, mais où.

François Richard, août 2005

lundi, août 15, 2005

Temps de remplissage

Dans les marchés d’alimentation, les amballeurs ont pour instruction de faire des petits sacs plutôt que d’en faire un énorme. Par conséquent, les clients ont l’impression d’en avoir plus pour leur argent. Qui n’a jamais entendu "pour dix piastre j’avais dix sacs?"

Cet état de fait me pousse à en venir à me poser une question. J’étais à la station service un certain matin d’août à remplir mon réservoir d’essence. Je voulais en mettre pour $20. À 99 cents le litre, le temps de remplissage aurait dû être moindre dû à la quantité plus petite comparativement à si j'aurais payé 50 cents. Mais non, c'est toujours aussi long. Voilà la question: Serait-ce possible que les compagnies, en s’inspirant du principe des sacs, diminuent le débit de leurs pompes augmentant ainsi le temps de remplissage pour que le prix exorbitant de l’essence paraisse moins pire et qu’il passe un peu plus inaperçu en nous donnant un faut sentiment de quantité?

Je lance la question, si quelqu’un connaît la réponse, qu’il la partage...

François Richard, août 2005

mardi, août 09, 2005

L'ouest y pense


On apprenait aujourd’hui ( 9-08-05 ) sur le site de Cyberpresse.ca que les Albertains sont à 42% pour la séparation de leur province. Alors pour ceux qui croient que l’ouest pleurerait de nous voir partir vous êtes dans l’erreur. Le pouls de ceux avec qui j’ai parlé qui ont séjourné quelques temps dans l’ouest ont tous le même discours. L'ouest se fout éperdument du Québec et des québécois.

Est-ce si difficile à comprendre? Pas du tout. Pour eux les québécois ne sont qu’une bande de braillards qui menacent de partir de la maison pour toute sortes de raisons mais qui ne le font jamais. À force de menaces, les Canadiens se sont aseptisés devant les habitants de la belle province. L’Alberta en tant que province la plus riche n’a rien à faire à envoyer de l’argent à Ottawa pour subventionner les plus démunis don le Québec. N’est-ce pas frustrant pour une province de contribuer à en faire vivre une qui se plaint constamment, surtout quand celle-ci à tout pour réussir sauf l'ambition collective?

Pour les Albertains, le Québec est comme un assisté sociale qui se regarde le nombril en se privant de toute formes d'ambitions. La forte présence des syndicats qui gèrent plus la province que le gouvernement lui même, ces centrales qui contribuent aux travers des conventions ridiculement irresponsables à faire du Québec la province la moins productives du pays n'aide pas à se donner bonne réputation et à augmenter notre productivité. Le Québec est perçu comme un itinérant au centre ville de Montréal que menacerait à tout bout de champ de quitter la ville malgré le fait que la ville l’aide à se nourrir. Les Montréalais n’en viendraient-ils pas à dire "bon débarras"? Il est temps que les Québécois se retroussent les manches. Il est temps que le gouvernement allège sa machine et qu’il encourage l’entreprenership pour que ceux qui ont des idées puissent les mètrent à exécution sans ambuches bureaucratiques. Il est temps qu’on pense construction. Il est temps qu’on pense ménage. Il est temps que le Québec reprenne son rang dans le peloton de tête. Il est temps que l’on cesse de parler des petits québécois et qu’on trouve normal qu’un québécois puisse réussir sur la scène mondiale. Il est aussi temps que l'on fasse tomber les barrières protectionistes qui empêhent les jeune d'avancer et qu'ils puissent laisser libre court à leurs idées. Il est plus que temps qu’en éducation on s’attarde aux décrocheurs plutôt qu’aux revendications toujours plus grandes des professeurs syndiqués du secteur publique. Il est tant d’agir pour l’avenir et de parler des vrais choses. Il est temps que le Québec se regarde dans une glace plutôt que de perdre son temps à chercher des coupables extérieurs. Pendant qu’on perd notre temps avec des négociations pour avoir une journée de maladie payée de plus par année et de savoir si on se sépare ou non, l’ouragan mondialiste se prépare pour nous écraser sans pitier et ce, sans qu'on s'en rendre compte.

François Richard, août 2005

samedi, août 06, 2005

Les PPP


Dernièrement Jean Lapierre et Lisa Frula y allaient d'un grand élan de générosité. C'est ce que nous apprend le texte de Gille Guénette sur Le blog du Québécois libre. On apprend en lisant ce texte, que nos deux ministres assoiffés de culture ont débloqué des fonds de $1 163 502 en subvention pour 14 magazines québécois sous prétexte qu'il faut continuer d'enrichir notre culture.

Devinez! Parmis les magazines en haute teneur culturelle on retrouve: Cool, Décoration chez soi, Femme Plus, Echos Vedette, Le Lundi, Dernière Heure et j'en passe. Devinez encore quoi! Tous sauf un, sont des bébés Québécor. Quelqu'un peut'il me dire pourquoi? Ces magazines à potins sont-ils vraiment un reflet culturel? Permettez-moi d'en douter.Pierre Carl Péladeau est-il à ce point en besoins financier ou c'est qu'il à de bons amis?

Plus ça change plus c'est pareil. Je n'ai pas écouté les commentaire de Claude Charron depuis des lunes, car ce type me donne la nausée, mais aura-t'il le courage dans un de ses élans de grand défenseur de la veuve et de l'orphelin de dénoncer cette absurde ( je pèse mes mots ) façon de faire de nos deux moineaux d'Ottawa et de son employeur. Lui qui est le premier à se battre contre le gros méchant voisin capitaliste Américain, n'est-ce pas là pire de se servir des fonds publiques payés par une majorité de travailleur à petits salaires qui ne savent jamais d'un semaine à l'autre si il vont pouvoir arriver à passer au travers pour faire un cadeau de plus de un million à un gars comme Péladeau?

La gaugauche québécoise se lève contre le fait qu'elle ne veut pas de partenariat publique privé sous prétexte que ça va aider seulement les riches. Quelqu'un peut-il m'expliquer pourquoi alors de tel subvention ne sont jamais dénoncés? n'est-ce pas l'exemple d'une forme hypocrite de PPP? Si au Canada il existe quelqu'un qui n'a aucunement besoin d'une aide financière c'est bien fiston Péladeau. Maintenant excusez-moi, je doit quittez car je dois aller vomir.

François Richard, août 2005