Des mots pour le dire

Des mots pour le dire se veut un blogue qui laissera place aux mots qui porteront leurs messages au gré des vents et des humeurs.Que ce soit politique, poétique ou autre il y a toujours des mots pour le dire.Aucune reproduction totale ou en partie n'est autorisée sans concentement.

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Emplacement : Mauricie, Canada

jeudi, septembre 29, 2005

Était-ce raciste?

Si je me fie aux propos de Serge Larivée, celui là même qui a remis l'étude au doc Mailloux, en plus de confirmer les chiffres dont Mailloux a fait référence, il a dit ceci: "Le QI est attribuable à l'aspect génétique et aussi à l'environnement dans lequel grandi un enfant en bas âge". Ce genre d'étude vient démontrer scientifiquement et concrètement que dans certaine classes de la société, il existe des carences génétiques ou environnementales nuisant au bon développement intellectuel d'un enfant. L'importance de telles études est de permettre aux pédagogues et autre type de scientifiques d'avoir une base de départ d'évaluation leurs permettant de trouver des outils et de faire la démonstration qu'il faut aider ces gens. Elle servent aussi à évaluer, si dans un groupe cible, il y a amélioration ou dégradation. Maintenant, c'est un peu comme une arme à feu, ça va bien pour chasser mais malheureusement certaine personnes s'en servent pour tuer.

Dimanche soir, Guy A Lepage à carrément tendu un piège à Mailloux en remettant sur la table des propos qu'il avait tenu il y a 2 ans alors qu'il avait pasrlé de l'existence de l'étude de Bell Curve. Peu importe la réponse que Mailloux aurait donné, le gars était piégé. Il ne pouvait pas contredire ce qu'il avait dit. Il ne pouvait pas contredire l'étude, elle existe bel et bien. Au pire il aurait pu dire qu'il ne voulait pas commenter. Encore là, on l'aurait cuisiner et les chasseurs de sorcières auraient alimenter nos médias en prétendant que Mailloux est un raciste en soulevant toute sortes de questions qui aurait nourri la machine à rumeurs et à suppositions.

Je crois profondément que l'équipe de tout le monde en parle et Guy A Lepage sont d'hypocrites prédateurs. Pour des raisons de cote d'écoute ou je ne sait quoi, on a mis sur le bûcher la tête d'un gars qui dérange tout en se foutant des résultats négatifs que cela susciterait dans la communauté en générale.

Qui à ressortie l'affaire et dans quel but? Voilà la question. Peut-être que si Mitsou et Bigras l'avaient laissé parler et s'expliquer au lieu de monter aux barricades en lui coupant constamment la parole et en l'insultant, le résultat aurait été tout autre... Mais là, difficile à dire. Je ne suis pas prophète. Une chose est certaine par contre; Lepage et sa gagne avait entre les mains 45 minutes d'entrevue avec Mailloux. Si ils avaient vraiment à coeur l'intégrité de la communauté noire : 1- il n'aurait pas posé cette question en connaissant très bien la réponse. 2- ils auraient pu facilement couper ce bout comme ils l'ont fait avec le reste des 45 minutes. Je n'en démord pas, tout le monde en parle c'est de l'hypocrisie subventionnée.

Certain prétendent que la sélection artificielle des gènes est une foutaise, alors comment expliquer la peur de la philosophie raelienne? N'était-ce pas, selon les dires de Mailloux dimanche soir, de donner un éclairage nouveau de ce que les blancs ont fait subir au peuple de race noir? N'était-ce pas la dénonciation d'un génocide intellectuel des blancs envers la communauté noire? Pour pousser la logique un peu plus loin, ne devrait-on pas interdire les tests d'aptitudes intellectuels des entreprises québécoises qui privent ainsi, en toute impunités, les plus démunies intellectuels de notre société, blancs, jaunes ou noirs d'avoir un bon job? Les questions sont posées?


François Richard, septembre 2005

jeudi, septembre 15, 2005

Qui en payera le prix?

80% des réserves de la banque alimentaire mondiale proviennent des États-Unis. Bin oui, les États aident les démunis. Il est clair qu'on en parle pas fort, tout d'un coup que les gens découvriraient que les États auraient un coeur.

La défense des États ici n'est pas le but de mon intervention. L'ouragan Katrina a frappé comme une bombe détruisant tout sur son passage. La destruction qu'elle a laissé derrière, est celle d'une scène qui pourrait nous faire croire qu'on nous montre une région africaine.

Ce qui risque de pendre au bout du nez des plus démunis dans les pays en urgence humanitaire, c'est la baisse d'aide des États Unis prisent a répondre à leurs propres demandes. On a entendu des gens rire de ce qui se passe en Nouvelle Orléans scandant qu'ils l'ont mérité. Comme si la petite caissière de chez Mc Do s'était levée un matin implorant Dieu de lui faire vivre ce que sera l'Apocalypse. Pas fort...

Par la bande, il y a des gens qu'on ne voit pas dans nos rues, qui vont en payé le prix. Plusieurs pays, don le Canada, devront faire des choix. Celui d'aider les États a s'en remettre au plus vite pour les libérer de leur handicap, ou bien d'augmenter leur aide international d'un façon significative.

Katrina, aura semer pour quelque mois la misère dans le sud américain, mais aura fait mourir de faim des milliers de familles en Afrique.

François Richard, septembre 2005

mardi, septembre 13, 2005

On a ce qu'on mérite

Dimanche soir dernier un combat ridicule a eu lieu. Endroit du rendez-vous? Nos petits écrans. On a issisté au duel star-académie et tout le monde en parle.

Bien que je ne voue pas une grande admiration à Guy A Lepage, la fait que star académie ait passé la gratte sur les cotes d'écoute, compte tenue du climat politique et social actuel, me désole. Jean Charest étant un des invités ça aurait dû inciter les gens à aller voir ce qu'il avait à dire. Mais voilà qu'on apprend, sans trop grandes surprises, que les gens se préocupent plus de savoir qui va gagner un pseudo concour d'amateurs que de savoir ce que leur gouvernement a à dire et qu'est-ce qui se prépare pour l'avenir.

C'est vrai que se forger une opinion politique c'est rien de bien palpitant. C'est bien plus agréable des soirées son et lumières. Décidément avec un tel éloignement de la population, le Québec n'est pas sorti du bois. Avec une telle démonstration d'intérets politique, quel québécois peut maintenant se permettre de juger les américains d'avoir réélu Bush? On va probablement sortir Charest sans savoir pourquoi, et réélire Martin haut la main... Calvair..! On a les politiciens qu'on mérite rien de plus.

François Richard, septembre 2005

samedi, septembre 10, 2005

Le nascar québécois

Voilà comment se déroulerait une course Nascare québécoise. Tout d'abord le nascar serait la course des québécois par excellence parce-que les voitures tournent en rond.

À la ligne de départ on commencerait par chialer parce-que la voiture bleue a 3 livres et demi de moins de pression d'air dans ses pneus que la rouge. Tous égaux! Il y aurait au moins trois faux départs. Un n'aurait pas vue le signal de départ. Ensuite parce-que la voiture rouge a un commanditaire de plus que la bleu, ce qui vaudra des manifestation sur la piste de la part des pilotes. Puis ensuite viendraient les manifestations des pilotes contre les propriétaires d'écuries. Les pilotes voudraient le 3/4 des profils. Par-contre ils ne veulent pas assumer quand il s'agit de pertes. Les propriétaires sont riches, qu'ils payent criss.

Puis enfin le départ se donne au grand bonheur de la foule mis de côté malgré qu'elle paye une grande partie du salaire des pilotes. Une voiture part de l'avant, trois autre ne roulent qu'à 50 km/h. Ils se foutent de ne pas gagner car ils sont payés de toute façon. Cinq partent de reculons. Comment pourrait-il imaginer de gagner. La compétition? Trop dangereux. Tout d'un coup qu'ils perdraient en essayant de gagner, vaut mieux ne pas prendre de chances. De toute façon gagner c'est trop d'implication. Ça demande beaucoup trop d'efforts... Il est préférable d'aller de reculons que de l'avant pour ne pas risquer de perdre les acquis. De toute manière à leur mort ils ne seront plus là. Au diable les générations futures.

Voyant cela, les propriétaire décident de faire appel à des pilotes privés. Un tollé s'élève de la part des pilotes et à la grande surprise de tous, aussi de la foule. Malgré le fait qu'on risquerait d'améliorer le spectacle, on s'objecte contre l'idée. Pauvres pilotes scande la foule. Le spectacle est platte, car une course sans compétition n'est plus une course mais comment imaginer d'appauvrir ces incapables.

Puis après plusieurs jours et des dépassements de coûts importants, les 50 tours sont enfin complétés. La voiture verte, la seule à être partie de l'avant et ayant maintenue une moyenne de 260 km/h malgré les ambûches des traineux de pieds, gagne . Personne pour féliciter le pilote. Les médias sont trop occupés avec le perdant. Dans les journaux le lendemain on verra en gros titre "encore le même qui gagne" "C'est toujours les même qui ont toutes." Puis on promet un dossier journalistique sur les problèmes et les épreuves personnelles du grand perdant pour faire d'un looser un winner.

François Richard, septembre 2005

vendredi, septembre 02, 2005

Le site est maintenant en ligne...

Une autre façon de voir les choses
Après plusieurs mois de travail le site est maintenant en ligne... Venez donc nous rendre visite...



François Richard