Des mots pour le dire

Des mots pour le dire se veut un blogue qui laissera place aux mots qui porteront leurs messages au gré des vents et des humeurs.Que ce soit politique, poétique ou autre il y a toujours des mots pour le dire.Aucune reproduction totale ou en partie n'est autorisée sans concentement.

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Emplacement : Mauricie, Canada

jeudi, mai 26, 2005

Comparaisons et perceptions incidieuses!

Il y a au Québec un sérieux problème de comparaison et de perception. Comment faire pour remettre les pendules à l’heure?

On a comparé l’affaire Fillion / Chiasson à celle de Cloutier / Simard

On a comparé le traitement de Wall Mart envers ses employés à celui des nazis face au juifs durant la période de l’holocauste.

On a traité la majorité des jeunes filles au prise de gagne de rue à Québec de petites putes.

On a dit que ce que Nathalie Simard avait vécu n’était pas grave, car toutes les jeunes filles ont connu un cochon vicieux dans leurs entourage.

On a considéré l’ex pédiatre Jocelyn Lussier "de pauvre docteur Lussier" suite à sa sentence de prison, qui n’oublions pas, à été retardé suite à sa demande d’appel.

On a dit que les femmes sont comme la loi, elles sont faites pour être violées.

On a comparé CHOI RadioX de Québec avec la radio des milles collines du Rwanda qui fut l'hombre du génocide.

Ce ne sont que quelques exemples qui me viennent en tête devant le court instant où je me retrouve devant mon clavier. Ce qui est le plus grave est que ce sont tous des propos tenus par des gens qui ont un micro et qui, à une seule exception, l’ont encore aujourd’hui. Si vous en avez à ajouter laissez-vous aller.

François Richard, mai 2005

jeudi, mai 19, 2005

Petit scandale en cache un grand?

Quand un trafiquant de drogue veut réussir un coup important, souvent il va faire en sorte que de petits trafiquants se fassent prendre pour détourner l'attention, pendant que le gros passe sans problèmes. Quand la police arrête plusieurs petits trafiquants, cela laisse croire à la population qu'ils font quelque chose pour contrer le trafique de drogue, qui dans le font, n'est qu'illusoire. Quand on retrouve un colis suspect, c'est souvent une façon de détourner l'attention de la police pour laisser place ainsi à un cambrioleur de cambrioler une banque.

Quand on nous bourre le crâne avec les histoires de la commission Gomery, qui implique un scandale d'environ 200 millions $, cela détourne t'il notre attention d'un possible scandale de 2 milliards avec l'enregistrement des armes à feux?

François Richard, mai 2005

dimanche, mai 15, 2005

Le drapeau de la souveraineté

"Vive le Québec libre! Selon le PQ et sa police secrète: la FTQ"



François Richard, mai 2005

Voila quand on parle trop

Voilà ce qui arrive au Québec quand l'élite décide que certain parle trop. Fillion, Lester, Dutrizac, Champagne et j'en passe.



François Richard , mai 2005

samedi, mai 07, 2005

Un siège pour tous

Qu'ont en commun le stade olympique et l'avortement au Québec? Le Nombre. Le stade à en son ventre une place pour chaque avorton Québécois à chaque année.

Comment ce fait-il que dans une province, un pays ou on trouvent facilement ce qu'il faut pour la contraception, l'avortement soit si haut en nombre? Peut-être sommes nous l'hombre d'un pays d'afrique quelconque..


François Richard, mai 2005

String, bedaine et savoir être

On reproche aux jeunes d’être ce qu’ils sont, pourtant ne sont’ils pas ce qu’on leurs a laissé être. Quand une mère de famille se lève pour se porter à la défense de sa fille qui porte le string et la bedaine à l'école, comment pourrait-on s’étonner de voir cette même fille se présenter dans un cabinet d’avocat vêtu de la sorte pour une entrevue? Jamais personne ne lui aura enseigné le savoir être.

Est-ce que je m’oppose à Lise Payette qui prétend que la femme est maître de son corps? Pas du tout, mais comment cette femme peut accepter que les jeunes filles s’habillent de la sorte sous le signe de la liberté alors qu’elle s’objecte contre une photo de magasine prétextant la femme objet. Se vêtir à moitié nue n’est-ce pas pire? Ne se transforment-elles pas en un objet tout court? Peut-être que Mme Payette a oublié que la chair est plus chaude que le papier. Au lieu de la liberté, les jeunes filles se retrouvent au contraire encore plus prisonnières de leur image. Bravo à Mme Payette, avec des amies comme elles les femmes n’ont pas besoin d’ennemies. C’est le monde en l’envers. Si un jour quelqu’un retrouve le nord, s.v.p. faites moi signe.


François Richard, mai 2005
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mercredi, mai 04, 2005

Aide Mémoire

Voici de quoi se compose l’aide mémoire d’un syndiqué:

"C’pas ma job..."
"Les nerfs chose, chu payé à l’heure moué..."
"Hey le jeune! Slack la cadence. De quoi on va avoir l’air nous autres?"

Le conseil qu’un syndiqué se plaît à donner:

"Le matin en te levant, si l’envie de travailler te prends, recouches toi ça va passer."

François Richard, mai 2005

mardi, mai 03, 2005

Un tatoo avec ça?

Pendant que des victimes d’actes criminels se doivent de faire faces à leurs fantômes seules et privées d’aides gouvernementales, on apprenait aujourd’hui que le fédéral dépensera 3/4 de million de dollars pour subventionner des prisonniers qui désirent se faire faire un ti tatoo.... Bin Tabarnak!!!!!

Francois Richard, Mai 2005

lundi, mai 02, 2005

Who's next


Qu’ont en commun: Normand Lester, Jean-François Fillion, Louis Champagne et Benoit Dutrizac? Ils ont tous perdu un emploie de communicateur pour leurs propos et opinions. Chacun son style, chacun ses causes et tous controversés de par leurs dénonciations.

Est-il normal que dans une société "libre" que l’on soit privé de sa liberté d’expression et de presse? N’est-ce pas là une preuve qu’une garde, à la solde de je ne sais qui, est en place pour tasser ceux et celles qui nuisent à je ne sais quoi, travaille pour une force obscure qui n’accepte pas qu’on puisse penser différemment d’une ligne de conduite établis par on ne sait qui. Nous sommes sur la route de la Cubanisation du Québec. Dans le fond c’est peut être ce que certain désirent. Castro n’a t’il pas été ovationné aux funérailles de Trudeau à Montréal par certain québécois présents?

J’ai déjà dit que le passé servait à faire des erreurs, le présent sert à en prendre conscience et le futur à ne pas les refaire. Il n’est pas illégal d’apprendre des erreurs des autres non plus. Alors qu’avons-nous appris de l’ex URSS et de ses pays satellites? Des pays sud Américains, les anciennes dictatures et les nouvelles? Pendant qu’on engourdit les gens avec des star-académie, des loft story et tous les autres émission de ce genre, on nous vole sournoisement notre liberté. Comment pourrait-on sonner l’alarme? Hey! Réveillez-vous... Toc toc toc... Hello!Y a quelqu’un?

Peu importe de quel côté de la clôture on se trouve, personne n’a le droit de nous imposer le silence, surtout quand il n’y a aucune invitation à la violence ou à l’illégalité dans nos propos. Pour ceux qui se cherchent une cause, en voilà une. Il est temps qu’on se lève pour dénoncer le contrôle de l’information qu’on nous impose hypocritement et qui nous privent d’avoir de vrais débats de société. C’est aux travers des débats et des échanges d’idées qu’on se donne les outils nécessaires pour trouver le meilleur équilibre possible dans une société.

Après ces quatre là... Who’s next?


François Richard, mai 2005
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dimanche, mai 01, 2005

La pensé unique


Qui va avoir le courage de dire les vrais choses? Le Québec se dirige vers un mur qui, selon les économistes devrait commencer à se pointer le bout du nez dans moins d’une dizaine années. Il ne faut surtout pas parler que le modèle Québécois tel qu’on continue de le défendre n’est plus actuel, complètement dépassé. Silence! On ne doit pas le dire. Les syndicats qui se mettent le nez partout sous prétexte de travailler pour l’avenir de la province. Criez haut et fort que vous pensez différemment... Vous verrez les gros bras de ces centrales qui viendront vous voir pour imposer leur loi. Silence! Deux petits exemples qui démontrent le sens de ce que l’on peut appeler l’émergence de la pensée unique. À l’époque, en Allemagne, Hitler n’a pas hésiter d’user de ce genre de méthode pour prendre le pouvoir. Il suffisait de penser différemment pour se faire casser la gueule.

Une des preuves de ces dires est le cas Fillion. Tout ceux qui l’écoutaient sur les ondes de CHOI savent que la couverture médiatiques n’avait qu’une mission. Peu importe les moyens et au diable l’éthique, il fallait le retirer des ondes. Tout ceux qui se sont fait une opinion aveugle en se basant sur les faits rapportés dans les médias n’avait d’autre choix que d’être pour ce départ, et pourtant? Qu’elle étudiant s’est vu retirer un diplôme pour n’avoir que 98.5% de note de passage? Une démocratie saine est une démocratie qui laisse libre court aux débats. C’est une démocratie qui voit souvent les chicanes parce’que justement, tous ne pensent pas pareil. Et oui! La chicane peut parfois être un signe de santé.

Un docteur en science politique, ex-professeur à l’université Laval dénonce depuis longtemps les dangers qui guettent notre société. Il a souvent remarqué aux courts de différente entrevue qu’il a donné la censure de certain médias Québécois. Il y reconnaît des signes évident d’un danger pour la liberté de presse et pour la démocratie. Signes qu’il a constaté pendant ses combats pour la défense des droit de l’homme à travers le monde. Il est beaucoup plus agréable d’écouter ses télé-romans préférés sans se casser la tête, et bien heureux celui qui y trouve son bonheur. Il est encore plus facile d’avoir du mépris pour ceux qui marche à contre courant. Ce mépris vient souvent de ceux qui veulent à tout pris protéger leurs acquis défendus il y a 30 ans au détriment des génération qui suivent. Ces générations même qui percuteront le mur qui s’en vient. Oui au Québec il y a une certaine forme hypocrite de pensé unique et étrangement, les portes étendards de cette idéologie sont souvent souverainiste. Étrange!


François Richard, mai 2005
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