Des mots pour le dire

Des mots pour le dire se veut un blogue qui laissera place aux mots qui porteront leurs messages au gré des vents et des humeurs.Que ce soit politique, poétique ou autre il y a toujours des mots pour le dire.Aucune reproduction totale ou en partie n'est autorisée sans concentement.

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Emplacement : Mauricie, Canada

vendredi, juillet 29, 2005

Inspirante nature


Existe t’il plus travaillant qu’un castor dans nos forêts québécoises? Habile charpentier, il est toujours à l’affût pour l’amélioration de sa construction. Travailleur acharné il passe des heures sans compter à travailler pour le bien être de sa collectivité.

Dans leur mode de vie, si un individus de la communauté se traîne les pieds et se laisse aller à la paresse, nuisant ainsi à l’évolution positive du groupe il est rejeté et expulsé du clan. Se retrouvant seul à errer dans les bois il est de ce fait condamner à mourir, victime de sa paresse. Aucune tolérance, nul n’aura à manger à rien faire.

N’est-ce pas un merveilleux exemple de la nature? Que de bien que nous ressentirions pour notre société si on s’en inspirait!

Francois Richard, juillet 2005

mardi, juillet 19, 2005

Existe-t'il que le Québec?

Existe-t'il que le Québec? Est-il possible que quelqu'un puisse trouver ailleurs ce qui lui convient à lui? Le fait que quelqu'un quitte le Québec est-il un signe de lâcheté ou n'est-ce pas là le contraire, compte tenue qu'une personne laisse derrière elle, famille, langue et culture pour s'installer dans un autre environnement que celui dans lequel elle a grandit.

Est-il possible qu'un jeune veule quitter une province où tout est fonction d'une population de 50 ans et plus. Que ce soit à la télé, à la radio etc... Est-il possible qu'une jeune famille puisse en avoir marre de se voir refuser des logements parce-que la société n'endure plus les jeunes enfants? Est-il possible qu'un travailleur soit complètement écoeuré de voir sa province sous les menaces constantes des syndicats qui dirigent par le porte d'en arrière? Est-il possible qu'un individus puisse désirer travailler pour lui et non pour subvenir aux besoin d'une société de plus en plus socialiste qui dépense plus pour bâtir une société de paresseux plutôt que d'encourager l'entrepreneurship véritable moteur de l'économie.

Je me suis longtemps demander si le fait de quitter était de la lâcheté, je suis convaincu aujourd'hui que c'est tout le contraire. La véritable lâcheté se retrouve dans le coeur de ceux, qui sous de faux prétextes, restent ici par peur de l'inconnu. Heureux ceux qui trouvent leurs bonheurs au Québec, le fait d'être bien ici n'est pas une excuse pour juger ceux qui quittent pour leur monde meilleur. Qui risque rien n'a rien, phrase que trop de québécois ont oubliés. Combien préfèrent se retrouver sur l'aide sociale plutôt que de quitter leur région natale, sont-ils juger aussi sévèrement que ceux qui quittent? Non, et pourtant...

En terminant, de voir des gens se taper dans les mains en disant bon débarras ne fait que démontrer la petitesse de la mentalité québécoise. Ce n'est que le reflet d'une société irresponsable qui fuit ses responsabilités en prenant le chemin le plus facile, plutôt que de se demander pourquoi et risquer de trouver des réponses qui demanderaient un peu plus de travaille. Ce n'est pas en se regardant le nombril avec des oeillères qu'on peut se permettre de se dire qu'on est les meilleurs.


François Richard, juillet 2005

vendredi, juillet 15, 2005

Voila ce que le PQ veut nous vendre...

Let's go mon Burny!

Burny is gone , Burny is back... Il ne manquait plus que ça, Landry veut revenir. Moi qui croyait que nous avions finalement réussi à nous en débarrasser. C’est dire qu’en politique rien n’est éternel, rien n’est certain. On fait des promesses qu’on ne tient pas, on part pour revenir. Ça va être correct mon Bernard on a compris, on ne se débarrassera pas de toi aussi facilement qu’on croyait. Tu es un véritable toff, un dur à cuire.

Que me reste-t'il à ajouter à ça à part de "Réveillez moi quelqu’un quand Burny sera partit"?

François Richard, juillet 2005